La femme s’est rendue au commissariat et a été libérée après une nuit au poste. Le ministère public devra déterminer si une infraction pénale a été commise. De son côté, l’ONG SOS Dolfijn s’est montrée très ferme et juge qu’il s’agit « de la cruauté envers les animaux ».
L’avocate Simone van der Aart a plaidé “l’enthousiasme” de sa cliente qui “ne ferait jamais de mal consciemment à cet animal” mais voulait simplement “le caresser et le câliner”. L’ONG explique également que la situation est critique pour les cétacés dans cette zone car « les baleines à bec sont de véritables animaux des profondeurs qui ne survivent pas bien dans la mer du Nord ». « Elles se sont perdues. Peut-être à cause de la pollution sonore ou d’une cause humaine. Peut-être sont-elles malades ».
